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Alerte, alerte alerte

Aaaaaalllllleeerrrrtttttteeeeee

Cette fois un véritable monstre nous attaque!!!€€@€%^^!!!@!

 Albert,

vous êtes bien nerveux!

Rrrreggggaarrrrdezzzz!!!!@%%€€#%^!!@!

Ici Ouais j'appelle Fuite347 et les planètes crevées, (toutes hein...)

C'est quoi ce truc au dessus de notre astéroïde? 

C'est notre mignonnerie.

La jolie petite nébuleuse du petit chat mignon.

 Écoutez le ronronner.

Dans le vide? Mettez la radio.

GRINNNNN RONNNN GROOONNN ROOOOOOONNNNNN...

Coupez coupez, sinon les tomates vivantes finiront en planètes crevées.

Ouais et on ne pense pas à  MOI Albert et mes congénères  poireaux, comme de bien entendu!

 Vous êtes vraiment deux chieurs!!

 Contemplez son petit nez-joli, ses yeux coquins, son doux pelage soyeux?

On dirait Hector le rat de  l'espace en pire!

C'est vrai qu'il a une certaine ressemblance avec le chat à  T.

Je dirais même  avec T. elle même.

Bon Albert je vous charge de la protection de Squizzy. Avec quoi attire-t-on les nébuleuses de chat, du gruyère?

J'ai lu dans un mag terrestre que les chats de capitales étaient vegans. Ils aiment les épinards. 

Ben inutile de protéger Squizzy!

Non mais ils sont  certes vegans mais parfois leur naturel prend le dessus.

Ouais en bref ils aiment les souris.

Ouais, mais pour les humains un chat est comme une petite taupe gentille en mieux, parce que c'est un chat mignon.

L'humain me déprime mon cher Abert.

Fuite 347, vous êtes là?

Non non.

Bon ça  va hein. J'aime T. mais les chats c'est pas possible, celui là  en plus à vraiment une sale tronche.

Il faut le trounoiriser.

Ouais, avec les planètes crevées on vous adore mais là  nous devons nous réunir pour établir notre action.

Je comprends....

Ah ben là  ils ne pourront pas aller contre moi cette fois, Ouais c'est la voix off là :

 Est-ce la fin du monde de Ouais?

 Ce qui est certain voix off  c'est que des années lumières ne suffiront pas à  te sauver. Tu es aussi nauséabond  que la petite fiente qui dirige les bouffeurs...

Désolé, je lui ai coupé la parole, mais là  courage fuyons...